400 millions de dollars permettront à ce pays d’entretenir environ 500 km de route.

Ces fonds de la Banque Mondiale permettront au pays de rénover un segment de 100 km entre Mangaoka et Bealanana sur la RN31, et un autre de 400 km sur la RN10.

Des études réalisées par l’institution révèlent que le pays dispose d’un réseau routier peu dense avec 32.000 km de linéaire.

«Les infrastructures de transport à Madagascar sont rudimentaires. Le pays dispose d'un large éventail de modes de transport. En plus d'environ 32 000 km de routes, il dispose d'un réseau ferroviaire de 845 km à écartement métrique (dont environ 670 km sont modérément opérationnels en vertu d'un contrat de concession avec Madarail), 17 ports maritimes, y compris le port principal du pays à Toamasina (qui traite 80% des marchandises du pays), 400 km de voies navigables (Canal des Pangalanes), 12 aéroports principaux et 44 aéroports secondaires. Malheureusement, beaucoup de ces installations sont actuellement non opérationnelles ou ont besoin d'être réparées ou agrandies, faute d'entretien et d'investissements appropriés », indique la Banque mondiale, rapporte l’agenceecofin.

L’objectif sera de fournir un accès routier fiable aux marchés et aux services dans certaines des régions les plus pauvres de Madagascar.