En effet, l’année passée a été marquée par les répercussions de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, a fait savoir le gouverneur de la Banque nationale d’Angola (BNA), José de Lima Massano.
Toutefois, Lima Massano, a mis en garde que des risques, tant externes qu'internes, pourraient toujours influencer cette tendance à la baisse des taux d’inflation, car l’économie angolaise reste fortement dépendante des importations et des revenus des exportations de pétrole.
«Les revenus du pétrole, principale source de fonds en devises étrangères, dépendent de la quantité exportée et du prix du marché, lui-même lié à la performance des principales économies mondiales», a-t-il déclaré.